L'agriculture est l'épine dorsale de l'économie tanzanienne et représente près d'un tiers du PIB et 65 % de l'emploi, les femmes constituant 70 % de cette main-d'œuvre. Le problème des intrants agricoles falsifiés, contrefaits ou de qualité inférieure en Tanzanie n'a pas fait l'objet de recherches approfondies, mais certains observateurs le considèrent comme important. Des preuves anecdotiques estiment que 30 à 40 % des intrants agricoles (semences, engrais et pesticides) sont des contrefaçons, les semences étant les plus contrefaites (46,8 %).

La société mPedigree, qui a fait l'objet d'un investissement de l'AECF, utilise des étiquettes sérialisées pour vérifier l'authenticité des semences, ce qui pourrait transformer la gestion des intrants agricoles contrefaits grâce à l'intégration de la technologie dans la réglementation de la qualité des semences.

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